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| | jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) | |
| Author | Message |
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InvitéGuest
| Subject: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 1:13 | |
| Aube Capelle elle courut à perdre haleine. oregon state: identity card NOM : Capelle. Banal et sans histoire, pourtant, elle traine ce nom avec peine. PRÉNOM(S) : Aubépine. Hérité de sa défunte grand-mère, elle emmène partout avec elle un nom d'arbre. Elle se fait donc plutôt appeler Aube. AGE : Vingt cinq ans qu'elle court le monde. PROFESSION : n'ayant jamais eu la courage de terminer ses études, Aube fait de petits boulots par-ci par-là, cherchant ceux qui l'accepteront. Aujourd'hui, elle travaille en tant qu'éclairagiste pour le théâtre de Roseburg. STATUT SOCIAL : Célibataire. Avant lui, elle n'aimait personne, détestait tout ce qui avait des jambes et un cerveau. Après lui, elle a fuit toute autre sorte de rapprochement humain. Tout ça, c'est de la connerie. RACE : Aube est une ulfhednar par morsure. Elle qui n'avait jamais rien cru à autre chose qu'à l'homme, la voilà bien lotie. La jeune femme a encore beaucoup de mal avec ce nouvel aspect d'elle même qu'elle n'accepte pas particulièrement bien. NATIONALITÉ : franco-américaine par naissance puis par devoir. ORIGINES : La jeune fille rousse est née en France, dans le Sud du pays. C'est à cause de son transfert dans un hôpital américain que toute sa famille a du déménager dans l'est du pays. Elle a beaucoup voyagé avant de venir s'installer ici, à Roseburg. FAMILLE : née d'un père plombier et d'une mère institutrice dans un lycée à problèmes, Aube a toujours été très suivie, très entourée de ses parents étant petite. Ce n'est que quelques années plus tard qu'elle se rendit compte que l'importance qu'elle pensait avoir acquis au sein de la famille n'était que du vent. Depuis elle a quitté toute vie familiale pour venir s'installer dans l'Oregon. Aube n'a donc plus aucuns contacts avec ceux-ci et ne s'en porte pas plus mal. Mais elle n'accorde plus aucune importance quant à la vie de famille et rejette en bloc toute forme de rapprochement sentimental. Le mariage ? Totalement exclus. Les enfants ? Peur panique. but don't you run away est née avec une malformation du coeur, a été opérée à l'âge de huit ans + vit parfaitement bien avec son nouveau coeur, elle ne peut juste pas courir + est une enfant adoptée + a une peur panique de tout ce qui est insecte + n'a jamais aimé étudié et par conséquent, n'a jamais fini ses études + ne sait pas chanter mais chante quand même + a longtemps été soumis à la tentation des endroits malfamés + vit toujours sur son nuage + est totalement lunatique + est très rationnelle et déteste tout ce qui touche aux croyances étrangères + n'a jamais cru aux fantastiques et autre chose du genre, ni aux religions + est tombée de haut, de très haut lorsqu'elle s'est fait mordre + rejette le plus possible sa nouvelle condition, ne veut pas ouvrir les yeux, est persuadée qu'elle rêve depuis des semaines + n'a été qu'une seule fois amoureuse, ce n'est pas qu'elle ne croit pas en l'amour, c'est juste qu'elle n'en voit pas l'utilité. l'homme peut très bien survivre sans une bague autour d'un doigt + adore peindre, les murs de sa chambre sont recouverts de fresques de toutes les couleurs + est généralement de bonne humeur + est très bordélique et déteste le rangement, ce qui lui a valu de nombreux licenciements. the cool kids PSEUDO : Suika. PRENOM : Sinon, vous pouvez toujours m'appelez Romane. AGE : 20 ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Love it. AVATAR : Ebba Zingmark. GROUPE : Ulfhednars. PERSONNAGE INVENTE/SCENARIO ? Inventé, avec l'aide de Gusgus
Last edited by Aube Capelle on Sun 10 Aug - 23:48; edited 5 times in total |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 1:13 | |
| Un jour peut-être. Deux petites filles courent le long d’un champ. Le soleil est haut dans le ciel, les nuages se font rares. Nous sommes en plein mois de juillet. Il fait beau. Même plus que ça. L’été est là. L’une est habillé d’une robe rouge, l’autre d’une bleue. A deux, elles refont le monde. A deux, elles sont seules. Elles rient, rient, rient en ce samedi ensoleillé ou rien ni personne ne pourra leur faire du mal. Elles ont attendu toute la semaine de pouvoir aller jouer dehors. L’école est finie pour deux mois et elles tardaient de se retrouver pour bien d’autres aventures. Seules contre tous, la vie est belle. A dix ans, elles n’ont jamais été aussi heureuses. Mais c’est sans se douter que quelques dizaines de kilomètres plus loin, un homme vient de se faire licencier après vingt ans de bons et loyaux services. Réformation de la boîte, les vieux sont à la porte. Les jeunes sont l’avenir, pourquoi diable s’encombrer de ceux qui ont déjà trop trimé ? L’homme en question est dévasté. Comment pourra-t-il dire ça à sa femme alors qu’elle venait de planifier tout leur voyage en Inde ? Il ne peut pas. Il ne peut lui enlever cette joie. ça la tuerait. Comme ça le tue lui. Il se pensait sécurisé. D’un côté de la ville, deux gamines jouent à celles qui lancera sa pièce le plus loin. De l’autre, un homme d’une cinquantaine d’année claque sa portière, les yeux rouges, le nez tout autant. Il sait qu’il ne devrait pas prendre la voiture, mais c’est plus fort que lui. Il est sur le point de tout perdre. Leur destiné se rapproche de plus en plus au fur et à mesure que les minutes passent. Des rires, des cris. Des sourires, des grimaces. Un avenir encore à tracé, un autre détruit. Midi moins quart, les deux gamines ont promis d’être rentrée d’ici dix minutes pour déjeuner. Midi moins dix, encore un peu, la petite blonde veut encore faire une partie. La brune rit. Encore. Midi moins cinq, un camion tourne le coin de la rue. Midi, les deux mères ouvrent leur porte, sur le perron, elles échangent un sourire. Dans un instant, leurs deux petites filmes vont accourir, le sourire aux lèvres, les yeux pleins d’étoiles de s’être retrouvées. Midi cinq. La petite brune fait tomber son sac de billes, elle se penche, le ramasse et entend son amie l’appeler. Plus vite, il faut rentrer à la maison. Midi sept, la dernière relève les yeux, un grand sourire sur le visage, sa copine est à dix mètres, elle agite les bras. Un sourire tout aussi grand sur son doux visage. Midi huit, son sourire restera à jamais figé. Un camion déboule à vive allure, perdant le contrôle de son véhicule. Des dizaines de billes tombent à nouveau sur le sol, un cri sans bruit déforme le visage de la brunette. « Rooooooooooooooose » A jamais figé dans son coeur, à jamais écrasé sous ses paupières closes. Une question de minute, une question de destin. Assise sur un lit d’hôpital, la jeune fille attendait sagement. Elle n’avait pas grand chose d’autre à faire en même temps. On lui avait dit d’attendre. C’est ce qu’elle faisait donc. Depuis toujours, on lui avait appris à respecter ce que les adultes voulaient d’elle. Pour qu’ils soient heureux. Qu’aucun problème ne viennent perturber la vie des Capelle. Sourire. Attendre. Espérer. Paraître. La petite Aube tordait ses longs cheveux dans tous les sens. A vrai dire, elle ne savait pas pourquoi personne ne venait près d’elle. Pourquoi on l’avait fait asseoir ici et que depuis de longues minutes, elle n’entendait plus un seul bruit. Peut-être tout le monde était-il partit. Elle regarda autour d’elle. Les murs étaient blancs. Un petit évier, un lit aux draps immaculés et aucune poignée de porte. Même si elle le voulait, Aube ne pouvait pas sortir. Elle se contentait donc d’attendre. Encore et encore. Une vitre la séparait d’un couloir aux lumières jaunâtres. Elle ne voyait pas grand monde. Elle ne savait même pas trop pourquoi elle était ici. Tous les jours, elle se réveillait dans ce lit d’hôpital, ses longs cheveux roux emmêlés, avec plus aucuns souvenirs de la veille. Ainsi que de sa vie. Elle restait alors assise, à sourire jusqu’à ce que tout éclate, vole en mille morceau. Alors la petite se mettait à hurler, crier, pleurer aussi fort qu’elle pouvait. Pour finir par tomber dans un profond sommeil agité, et tout recommencé le lendemain. Stresse post-traumatique d’après les médecins, mais inexplicable. Aube fit un signe de la main à la dame debout derrière la vitre. Celle-ci pu à peine lui répondre d’un pâle sourire. « Votre fille fait des progrès madame. Je pense qu’elle pourra se remettre à communiquer rapidement » La mère de la petite rousse poussa un profond soupire. Elle en doutait fortement. Depuis la mort de son amie, Aube ne parlait plus. Elle hurlait. Son esprit en avait pris un coup. Tout comme son coeur. Des fils entraient dans sa peau, lui injectant toutes les heures de lourdes doses de morphines. Mais elle voyait bien dans le regard des infirmiers que le coeur de son enfant n’allait pas encore survivre bien longtemps à ses crises régulières. Cette mère pourtant tant aimante était sur le point d’abandonner. De baisser les bras. Ce serait tellement plus facile. Son coeur a lâché. Entravée de centaines de tuyaux, Aube peut à peine bouger. A peine respirer. A peine vivre. Son cerveau abandonne petit à petit. Trop jeune. Elle passe ses journées allongée dans le noir à attendre la prochaine crise. Elle sait bien que quelque chose cloche chez elle. Mais elle ne sait pas quoi. Ou elle ne veut pas savoir. Fermer les yeux. Oublier. L’odeur du sang remonte au fond de sa gorge, ses yeux se voilent sur un passé pas si lointain. Elle repousse du mieux qu’elle peut l’horreur de la scène à venir. Elle ne veut pas se rappeler, pas se souvenir. Oublier cet incident qui l’a mise dans cet état. Elle aurait tellement voulu être à sa place. Souffrir. Oublier. Crever. Ses paupières sont closes, ses ongles rentrent dans sa paume, faire partir le souvenir, loin, très loin. Le capteur installé sur sa temple envoie le signal. Et elle sent, heureuse, le produit entrer dans son corps, lui permettant de détendre tous ses muscles, de sombrer dans les tréfonds du sommeil. Aube sent de l’agitation autour de son frêle corps. Des bribes de conversations atteignent ses oreilles. « Il faut l’opérer… » Elle se concentre. « Plus ils attendent, plus ils risquent de… » Plus fort. « Elle ne tiendra pas plus d’un mois dans cet état… » Elle creuse dans le tunnel noir qui l’entoure. « Les Capelle sont irresponsables, ils tuent leur fille. » Et elle relâche. ça fait longtemps qu’elle a compris que ses parents ne l’aideront plus. Ils ont perdu l’espoir. Tout comme elle. Et elle sombre. Trois semaines plus tard« Capelle, please ? Hi, I’m Dr. Whardor. I made the operation of your daughter. Everything is ok. Please, follow me. » Les Capelle suivirent donc le docteur. Quelques instants plus tard, ils trouvèrent leur fille unique, allongée sur un lit blanc, les yeux tournés vers la fenêtre. « Aube ? » Celle-ci tourna le visage vers elle. « Où suis-je ? » Les deux parents se regardèrent. Après presque deux ans d’absence leur enfant semblait avoir repris visage humain. « Nous sommes aux Etats-Unis. » Ils passèrent l’heure suivante à lui raconter les derniers évènements, passant sous silence le traumatisme qu’elle avait subit. Mais ils lui expliquèrent ses longs mois dans sa chambre, les crises, l’opération, le nouveau coeur. Peu à peu, Aube sentit les souvenirs arriver en masse. Elle était sauve. Et elle aurait du être contente. Elle aurait du. Ce soir-là, elle ferma les yeux, tout en pensant que tout aurait pu être terminé tellement plus vite, si sa mère avait accepté de la transférer beaucoup plus tôt. Elle sourit à la pensée qu’il lui restait dix ans avant d’atteindre sa majorité. Dix ans plus tard« Bordel Aube, tu fais chier. » La jeune fille sourit de toutes ses dents à son amie. Elle venait d’intégrer un nouveau lycée depuis quelques mois déjà, mais elle n’avait pas perdu ses vieilles habitudes. Pourquoi faire ses devoirs lorsque ses amis le faisaient pour elle ? Elle savait pertinemment qu’elle les emmerdait, mais comme elle disait si bien; les études, c’était pas pour elle. Après s’être défait de l’emprise de ses parents, elle avait emménagé dans l’Oregon. Il lui restait une année à tirer pour ses études, après, elle était libre. Libre de faire ses propres choix, d’écrire son propre chemin. On ne pouvait pas dire qu’elle avait beaucoup d’amis. Ou de connaissance. Dans cette petite ville qu’est Roseburg, Aube n’était pas considérée comme une fille fréquentable. Seule à à peine la majorité atteinte, la clope au bec, les vêtements trop larges, c’était une mauvaise fille. Oh, elle ne se considérait pas comme tel, mais elle aimait maintenir cet aspect mystérieux, pas très net qui flottait autour d’elle. Mais comme toute jeune adolescente digne de ce nom, l’amour vint frapper à la porte. Ou tout du moins, une forte attirance au premier regard, un sourire échangé, des mois partagés. Malgré son côté un peu en dehors, elle l’aimait bien, son Gus. Il l’attirait dans des mondes fous, des pensées étranges. Elle ne se sentait pas prise en faute lorsqu’elle était avec lui. Elle ne se sentait pas l’étrangère de service à l’énorme cicatrice à la poitrine. Elle était Aube. Mais un premier amour ne dure par éternellement. Ils restèrent presque cinq ans ensemble. De complicité, de disputes, de tirages de cheveux, de rire. Mais alors qu’Aube essayait vainement de faire quelque chose de sa vie, d’être rationnelle, responsable, adulte, Gus semblait se complaire dans son monde de fantaisie. Et la jeune fille finit par partir. Elle détestait tout ce qui sortait du droit chemin de la réalité. Et elle le fuit. Pourtant, au fond d’elle, il restait son premier amour, celui qui aurait toujours une place en elle. Mais elle se promit de ne plus faire partie de sa vie. Etrangement, tous les propos qu’il tenait sur ses mondes parallèles lui foutait une trouille bleue. Ce n’était pas possible, c’était totalement impossible. Pour sa santé mentale, elle devait s’en tenir éloigné. Tout est flou. Il fait noir, il est tard, j’ai trop bu. Je ne sais plus où je suis, ni où je vais. Je m’appelle Aube. J’ai vingt-cinq ans. Le reste… Le reste est trop flou. J’ai froid. Mais j’ai envie de tout enlever. J’aurais pas du boire ce verre bordel. C’était celui de trop. Je pousse un profond soupire. Je sais plus si je suis venue à droite ou à gauche en arrivant. Peut-être tout droit ? Noooo, à gauche. Ouais. C’est un peu noir quand même. Il y a des drôles de gens. Je souris. Non, pas sourire. Mauvais sourire. J’ai la tête qui tourne mon dieu. Doucement, je m’appuie contre un mur. Je vois plus rien. J’ai tellement envie de me mettre par terre. Et dormir. Longtemps. Toujours.Elle ne le voit pas. Elle ne le sent pas. Mais il est là. Quelque part, il rode. Alors qu’elle peine à se remettre sur ses pieds, les yeux dans le vague, elle ne l’entend pas. Et en un quart de seconde sa vie entière est bouleversée. Et elle hurle. Tombe à genoux, son corps entier brûle, des milliers d’aiguilles se tortillent sous sa peau, et dans un dernier hurlement, elle tombe dans les pommes. Trois semaines. Trois semaines que je n’ai absolument aucune idée de ce que je suis. Enfin, techniquement si. Je suis moi. Et en même temps, non. J’ai l’impression d’évoluer dans un constant cauchemar où je serais l’acteur principal qui voit arriver sa scène finale tout en ne connaissant pas son texte. Je n’ose plus sortir, j’ai peur de croiser mon reflet. Mes cheveux en bataille, j’essaie vainement de me réveiller. Car tout ça, c’est un rêve. Impossible. Il ne pouvait avoir raison. Pourtant… Je ne dois pas avoir l’esprit clair, car à peine ai-je réaliser ce que je faisais, que mon doigt appuyait sur une sonnette, portant le nom de « Gus Wylder ». Je suis folle. Et il l’est surement tout autant. Mais je dois être sûr. Laisser tout ça derrière moi, reprendre ma vie. Je dois avoir pris trop de drogue. Ou de substances hallucinogènes. Je dois me ressaisir bordel
Last edited by Aube Capelle on Mon 11 Aug - 8:57; edited 12 times in total |
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James AbberlineHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : bigbadwolf, lise. MESSAGES : 356 DISCLAIMER : Stilinski. OTHER MUSE : not yet. AVAILABILITY : non dispo. (2 rps) AVATAR : hayden christensen. AGE : 30 ans. GROUPE : chasseurs. CIVILIAN STATUS : fiancé mais il songe à lui demander de lui rendre sa bague. Ahem. JOB : prof de maths au lycée de Roseburg, ancien champion d'échecs de l'Oregon.
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 1:23 | |
| Héhéh double merci |
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Sybil AbberlineHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : blown mind (camille) MESSAGES : 302 DISCLAIMER : rohan d'amouuuur OTHER MUSE : Non, pas pour le moment. AVAILABILITY : Indisponible (0/3 places) mais je peux m'arranger. AVATAR : Eliza Taylor-Cotter AGE : Vingt ans. GROUPE : Chasseurs. CIVILIAN STATUS : Célibataire. HABITATION : Maison n°355 Black Avenue with Imogen Abberline JOB : Etudie la médecine vétérinaire, est assistante vétérinaire au cabinet de la ville et est chasseuse de loups-garous.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 1:55 | |
| Joyeux anniversaire Et bienvenue parmi nous avec la belle Ebba Si tu as la moindre question, n'hésite pas |
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Kate AndersonWOLF : HOWL AT THE MOON.
PSEUDO : cuicui MESSAGES : 146 DISCLAIMER : cuicui AVAILABILITY : 1/3 AVATAR : Shay Mitchel AGE : 25 ans CIVILIAN STATUS : Célibataire, mais songe à se trouver quelqu'un, un loup-garou de préférence .. JOB : Co-Gérante d'une agence immobilière.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 2:46 | |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 3:25 | |
| Oui bon anniversaaaaaire petite rouquine Et bienvenue ici ! |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 3:28 | |
| Bienvenue ici. Ebba est trop canon. |
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Cole KarstarkHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : malfoy, émilie. MESSAGES : 104 DISCLAIMER : stilinski (avatar). AVATAR : hoechlin. AGE : vingt cinq ans. GROUPE : chasseurs. CIVILIAN STATUS : coureur de jupons. HABITATION : diamond lake boulevard. JOB : ancien pilote de formule un.
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Kaelys ChattertonWOLF : HOWL AT THE MOON.
PSEUDO : Mysalys MESSAGES : 168 DISCLAIMER : avatar : ice and fire. ;signature : wild hunger AVAILABILITY : 3/4 (sybil, dahlia, arek) AVATAR : Phoebe Tonkin AGE : 24 ans tout juste GROUPE : Les loups CIVILIAN STATUS : Célibataire, libre comme l'air, et n'a pas l'intention de se poser HABITATION : Harvard Avenue, bâtiment C n°20 JOB : Photographe
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 4:21 | |
| BON ANNIF!!! Bienvenue et bon courage pour ta fiche! je connais pas ton vava mais j'aime |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 4:24 | |
| Merci à vous tous, vous êtes des amours |
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Rory DohertyWOLF : HOWL AT THE MOON.
PSEUDO : chandelier MESSAGES : 124 DISCLAIMER : © frenchaddicted, tumblr. AVAILABILITY : disponible 1/4 + tc1 AVATAR : zac efron AGE : 26 ans GROUPE : loup-garou (oméga aux yeux jaunes ambrés). CIVILIAN STATUS : célibataire HABITATION : #22, Surroundings. Entre forêt, champs et lac. Maison au fond du petit chemin à gauche après le gros rocher à la sortie de la ville. JOB : postier
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Gretta WinslowWOLF : HOWL AT THE MOON.
PSEUDO : l'oisillon bleu. MESSAGES : 324 DISCLAIMER : azelle (avatar). - tumblr (sign). AVAILABILITY : (2/2). AVATAR : crystal reed. AGE : twenty-four yo. GROUPE : werewolf. CIVILIAN STATUS : Free as the wind. JOB : painter/artist ~ seller in a flower shop.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 7:56 | |
| bienvenue parmi nous |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 8:50 | |
| Ebba est magnifique En plus une ulfhednar Joyeuuuux anniversaire Et bienvenue sur le forum |
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Imogen AbberlineHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : Δ wolf hearted (marianne) MESSAGES : 182 DISCLAIMER : Δ avatar par freckles sloth. AVAILABILITY : Δ dispo 1/3 (théo, intrigue) AVATAR : Δ la belle jennifer lawrence. AGE : Δ vingt-cinq ans. GROUPE : Δ les chasseurs. CIVILIAN STATUS : Δ célibataire. HABITATION : Δ maison n°355, black avenue, avec sybil. JOB : Δ agent de police et, bien sûr, chasseuse de loup-garou.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 11:34 | |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 21:42 | |
| Merciii |
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Oona GrimesHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : red strings. MESSAGES : 159 DISCLAIMER : sil. (avatar) OTHER MUSE : charlie baxendale. AVAILABILITY : 2/3. AVATAR : sophie turner. AGE : vingt-et-un ans. GROUPE : chasseurs. CIVILIAN STATUS : en couple avec rohan, et il ne peut en être autrement. HABITATION : harvard avenue. JOB : étudiante en commerce.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Sun 10 Aug - 22:26 | |
| enhhhh joyeux anniversaire bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche. le titre et le pseudo sont magnifiques ! |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Mon 11 Aug - 7:10 | |
| Et que dire de ton choix d'avatar merci à toi |
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James AbberlineHUNTER : WE HUNT THOSE WHO HUNT US.
PSEUDO : bigbadwolf, lise. MESSAGES : 356 DISCLAIMER : Stilinski. OTHER MUSE : not yet. AVAILABILITY : non dispo. (2 rps) AVATAR : hayden christensen. AGE : 30 ans. GROUPE : chasseurs. CIVILIAN STATUS : fiancé mais il songe à lui demander de lui rendre sa bague. Ahem. JOB : prof de maths au lycée de Roseburg, ancien champion d'échecs de l'Oregon.
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Mon 11 Aug - 9:12 | |
| tu es validé(e) ! sois le bienvenu chez toi J'aime beaucoup ton personnage, et ta plume c'était très agréable à lire !A présent que tu es validé, il y a certaines choses que tu dois savoir ! → Tout d'abord, il te faut venir recenser ton avatar par ici, puis le groupe dans lequel se trouve ton personnage (humains inclus) par là ! → N'hésites pas non plus à faire un tour ici pour faire ta demande de profession et là pour ta demande d'habitation. → Enfin, tu peux créer des scénarios dans cette partie et poster ta fiche de liens dans celle-là. Et n'oublies surtout pas de t'amuser et de profiter ! :ext: Bon jeu ! |
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InvitéGuest
| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) Mon 11 Aug - 9:24 | |
| Owh, merci beaucoup |
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Gus WylderHUMAN : LIKE A LITTLE LAMB.
PSEUDO : AFTERLIFE MESSAGES : 27 DISCLAIMER : Shiya ; Alaska AVAILABILITY : 1/3 AVATAR : MGG AGE : 27 ans GROUPE : Humain CIVILIAN STATUS : Célibataire HABITATION : Harvard Avenue
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| Subject: Re: jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) | |
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| | | | jusqu'au jour où le néant la rattrapa (aube) | |
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